Bande dessinée à nez (II) : « Un rhume de cerveau » par Adel
« Bande dessinée à nez » débusque pour vous les plus belles apparitions nasales de la littérature graphique. Exemple aujourd’hui avec une planche signée Adel,
« Bande dessinée à nez » débusque pour vous les plus belles apparitions nasales de la littérature graphique. Exemple aujourd’hui avec une planche signée Adel,
De Wilhelm Busch à Georges Méliès, les histoires en images mettant en scène un dormeur attaqué par des insecte auraient-elle influencé le cinéma ?
Créée en 1886 avec l’objectif de dépasser « les vieux sujets grossièrement enluminés qui ont fait la joie de nos pères », l’Imagerie artistique de la maison Quantin se démarque des autres et ouvre une nouvelle ère de l’édition enfantine.
Cette planche de Caran d’Ache intitulée « Musical competition » aurait-elle inspiré le dessinateur pour son roman dessiné « Maestro » ?
Une puce, c’est l’hôte indésirable de ce lit, le prétexte pour Wilhelm Busch qui nous donne ici une belle série de contorsions muettes d’un dormeur dérangé en plein sommeil.
Le nez se trouve régulièrement au centre d’histoires en images tout au long du XIXe siècle. Premier exemple avec cette planche de J.Blass parue en 1893 dans la revue L’Illustré du Soleil du Dimanche.
En 3 minutes et demie, Joshua Glenn démontre la troublante influence de Winsor McCay sur des films comme L’Age d’Or, King Kong, Dumbo, Mary Poppins, ou encore Charlie et la chocolaterie.
En 1894, Caran d’Ache se lance dans un projet révolutionnaire : « Maestro ». Ce « roman dessiné » de plus de 300 pages devait être entièrement muet, sans aucune légende. Il resta malheureusement inachevé…
Dans cette séquence muette présente dans l’un de ses manuscrits, Rodolphe Töpffer dessine un gentilhomme surpris qui se fait attaquer par un autre armé d’un fléau…