Le Chat Noir

Les « Flagrants délits » de Steinlen

Entre novembre 1889 et janvier 1890, la revue « Le Chat noir » accueille une série de quatre histoires sans paroles dans lequelles Steinlen narre les mésaventures nocturnes de bourgeois solitaires.

Steinlen en manque d’inspiration ?

Entre 1895 et 1896, « L’Echo de Paris » accueille des planches de Steinlen. L’une d’elles intitulée « En désespoir de cause » narre les affres d’un dessinateur d’actualités devant sa feuille blanche…

Plus de Verbeck !

Plus de Verbeck !

A la suite de notre précédent article, voici quelques-unes des contributions que Gustave Verbeck donna dans la presse française dans les années 1890.