Steinlen joue au « Chat Noir » et à la souris
Hasard des calendriers de cette fin de mois, deux ventes aux enchères à Paris proposent chacune une planche originale par Théophile-Alexandre Steinlen publiée dans Le Chat noir.
Hasard des calendriers de cette fin de mois, deux ventes aux enchères à Paris proposent chacune une planche originale par Théophile-Alexandre Steinlen publiée dans Le Chat noir.
Entre novembre 1889 et janvier 1890, la revue « Le Chat noir » accueille une série de quatre histoires sans paroles dans lequelles Steinlen narre les mésaventures nocturnes de bourgeois solitaires.
Entre 1895 et 1896, « L’Echo de Paris » accueille des planches de Steinlen. L’une d’elles intitulée « En désespoir de cause » narre les affres d’un dessinateur d’actualités devant sa feuille blanche…
A la suite de notre précédent article, voici quelques-unes des contributions que Gustave Verbeck donna dans la presse française dans les années 1890.
Sous le pseudonyme Shidari-Kiki se cache le dessinateur français Georges Bigot qui, après un séjour au Japon, réalisa, notamment pour l’imagerie Pellerin, des histoires s’inspirant du folklore asiatique.