Simplicissimus, année I
Sélection de planches de bande dessinée par Josef Benedikt Engl, Ferdinand Reznicek, Wilhelm Schulz et Thomas Theodor Heine parues dans la revue allemande entre 1896 et 1897.
Sélection de planches de bande dessinée par Josef Benedikt Engl, Ferdinand Reznicek, Wilhelm Schulz et Thomas Theodor Heine parues dans la revue allemande entre 1896 et 1897.
Le célèbre Winsor McCay aimait jouer avec les conventions et les procédés de la bande dessinée. Cette planche, passée inaperçue dans « Le Journal pour tous » de 1904, en est un exemple typique…
Sous le pseudonyme Shidari-Kiki se cache le dessinateur français Georges Bigot qui, après un séjour au Japon, réalisa, notamment pour l’imagerie Pellerin, des histoires s’inspirant du folklore asiatique.
Cette amusante planche muette met pourtant en scène deux élèves qui utilisent la voix d’un phonographe pour éviter de réciter leur leçon…
Caran d’Ache fait de nouveaux clins d’œil à Wilhelm Busch avec cette double planche parue en 1887 dans « La Revue Illustrée ».
De Wilhelm Busch à Georges Méliès, les histoires en images mettant en scène un dormeur attaqué par des insecte auraient-elle influencé le cinéma ?
Cette planche de Caran d’Ache intitulée « Musical competition » aurait-elle inspiré le dessinateur pour son roman dessiné « Maestro » ?
Une puce, c’est l’hôte indésirable de ce lit, le prétexte pour Wilhelm Busch qui nous donne ici une belle série de contorsions muettes d’un dormeur dérangé en plein sommeil.
Le nez se trouve régulièrement au centre d’histoires en images tout au long du XIXe siècle. Premier exemple avec cette planche de J.Blass parue en 1893 dans la revue L’Illustré du Soleil du Dimanche.
En 1894, Caran d’Ache se lance dans un projet révolutionnaire : « Maestro ». Ce « roman dessiné » de plus de 300 pages devait être entièrement muet, sans aucune légende. Il resta malheureusement inachevé…
Dans cette séquence muette présente dans l’un de ses manuscrits, Rodolphe Töpffer dessine un gentilhomme surpris qui se fait attaquer par un autre armé d’un fléau…