Les Lundis de Caran d’Ache (X)
Suite du dépouillement du Figaro de la fin du XIXe siècle à la redécouverte des pages de dessins que donna le dessinateur entre août et décembre 1897.
Suite du dépouillement du Figaro de la fin du XIXe siècle à la redécouverte des pages de dessins que donna le dessinateur entre août et décembre 1897.
Quand la presse des années 1930 recueille les témoignages de grands dessinateurs pour enfants : Christophe, Benjamin Rabier, J-P Pinchon ou encore Alain Saint-Ogan.
A la redécouverte d’un album oublié mêlant histoire de chasseurs, décapitation au fusil, anthropophagie accidentelle, homme à tête de mouton… et publié par un éditeur mort au front pendant la Commune, du côté des Versaillais !
Avant même que Marcel Duchamp ne s’en prenne à La Joconde et n’en fasse une icône dadaïste, des histoires en images racontaient au XIXe siècle comment de jeunes garnements détournaient des portraits peints en leur ajoutant moustache et barbichette…
Mis aux enchères en décembre dernier, un lot d’une dizaine de contrats s’étalant de 1887 à 1907 retraçaient dans les grandes lignes la carrière artistique de Caran d’Ache.
Une balle qui passe de case en case, détruisant tout sur son passage… Ce motif récurrent traverse les océans et se retrouve chez Benjamin Rabier, Winsor McCay et Peter Newell.
A lire sur le site Cases d’Histoire, notre entretien à propos de l’influence des dessinateurs du journal humoristique allemand Fliegende Blätter sur l’œuvre de Benjamin Rabier.
Töpfferiana publie un texte de Benoît Crucifix sur l’apparition fracassante de l’automobile dans la bande dessinée américaine du début du XXe siècle.
Le SoBD 2014 proposait un débat entre Thierry Groensteen et Thierry Smolderen autour de la question de la place de Rodolphe Töpffer dans l’histoire de la bande dessinée. Nous publions la retranscription de ces échanges.
A la fin du XIXe siècle, un fabricant de jouets nommé Watilliaux proposa un concept original mêlant histoires en images et figurines de bois dessinés par Randon.
Deux histoires en images de Paul Dufresne et Adolphe Willette retracent le quotidien plus ou moins fantaisiste d’écoliers de la préhistoire et de la fin du XXe siècle.
Töpfferiana publie un texte de Nelly Feuerhahn qui montre comment Albert Robida s’est inspiré de Wilhelm Busch pour l’une de ses histoires en images.
Problèmes de voisinage, mutations zoologiques, sous-vêtements anti-gravitation… Voici une collection de dessins et histoires du dessinateur qui fut l’un des piliers du Punch.
En 1867, dix ans après le dernier volume de la « collection des Jabots », Charles Philipon frappe une ultime fois avec la publication d’un nouvel ouvrage sur le modèle töpfferien passé jusqu’alors inaperçu…
Quelques pièces supplémentaires à rajouter au puzzle « Maestro », le roman dessiné entièrement muet, imaginé par Caran d’Ache en 1894.
En 1906, Jordic dessine une série racontant les rêves d’une petite fille en s’inspirant très probablement du chef-d’œuvre de Winsor McCay.
Un dessinateur en manque d’encre, un metteur en page abusé par des personnages de fiction, des fées et des lutins qui fabriquent un journal : trois histoires en images mettent à jour les processus de création d’une bande dessinée au début du XXe siècle.