Le Petit Lucien, deuxième épisode
Cette nouvelle planche de l’Imagerie Quantin offre de nouveaux points de comparaisons avec les premières pages du « Little Nemo » de Winsor McCay.
Dessinateurs
Les Lundis de Caran d’Ache (I)
En 1895, « Le Figaro » débauche Caran d’Ache qui travaille alors au « Journal » pour qu’il signe désormais sa page du lundi dans ses feuilles. Cette collaboration durera jusqu’en 1906.
Le Petit Lucien au Pays des Rêves
Cette planche de l’imagerie Quantin de 1886 par le dessinateur Job aurait-elle influencé Winsor McCay pour le tout premier épisode de « Little Nemo in Slumberland » paru dans le « New York Herald » de 1905 ?
La puce, le chien et la caméra
De Wilhelm Busch à Georges Méliès, les histoires en images mettant en scène un dormeur attaqué par des insecte auraient-elle influencé le cinéma ?
« Une mèche de vos cheveux, Maëstro !… »
Cette planche de Caran d’Ache intitulée « Musical competition » aurait-elle inspiré le dessinateur pour son roman dessiné « Maestro » ?
La puce, le chien et le(s) maître(s)
Une puce, c’est l’hôte indésirable de ce lit, le prétexte pour Wilhelm Busch qui nous donne ici une belle série de contorsions muettes d’un dormeur dérangé en plein sommeil.
Bande dessinée à nez (I) : « C’est dans le nez que ça le chatouille » par J. Blass
Le nez se trouve régulièrement au centre d’histoires en images tout au long du XIXe siècle. Premier exemple avec cette planche de J.Blass parue en 1893 dans la revue L’Illustré du Soleil du Dimanche.
Un cinéma sous influence
En 3 minutes et demie, Joshua Glenn démontre la troublante influence de Winsor McCay sur des films comme L’Age d’Or, King Kong, Dumbo, Mary Poppins, ou encore Charlie et la chocolaterie.
Maestro, le roman éparpillé
En 1894, Caran d’Ache se lance dans un projet révolutionnaire : « Maestro ». Ce « roman dessiné » de plus de 300 pages devait être entièrement muet, sans aucune légende. Il resta malheureusement inachevé…
Séquence initiale töpfferienne
Dans cette séquence muette présente dans l’un de ses manuscrits, Rodolphe Töpffer dessine un gentilhomme surpris qui se fait attaquer par un autre armé d’un fléau…