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La bande dessinée au siècle de Rodolphe Töpffer
Consultez la thèse de Camille Filliot soutenue en 2011 à l’université Toulouse 2-Le Mirail.
Herlé Luc-Michel retrace le parcours du dessinateur Caran d’Ache dans toute la diversité et la richesse de sa palette, tout en replaçant l’homme et son art dans son époque.
La réunion de la liste de discussion « Platinum Age Comics List » se tiendra comme chaque année le vendredi du Festival de la bande dessinée d’Angoulême. Détails et informations pour ceux qui souhaitent y assister.
Retrouvez sur cette page les documents et bandes dessinées cités dans l’ouvrage qui vient de paraître sur le comic strip “Les aventures du professeur Nimbus” et son créateur André Daix.
Comment la revue des Pieds nickelés s’est démarquée des autres revues d’histoires en images du début du XXe siècle en proposant des couvertures originales.
Bicot et La Famille Mirliton sont les premiers à être publiés en France sans être adaptés à un lectorat non habitué aux bulles, grâce au rôle précurseur du groupe Excelsior Publications dirigé par la famille Dupuy.
De 1917 à 1934, une édition européenne du Chicago Tribune fut publiée et dirigée à Paris. Elle proposait dans ses pages, ainsi que dans un supplément en couleur, les comic strips crées par son grand-frère américain comme The Gumps, Gasoline Alley ou Dick Tracy.
Rien n’arrête le motard effréné de “Look Out for Motorcycle Mike !”, comic strip de Frank King publié de 1911 à 1914, qui vous emmènera de Chicago jusqu’au Paris des Futuristes de Marinetti.
Plongée dans les pages du supplément de bande dessinée de l’édition européenne du « New York Herald » avec Buster Brown, Little Nemo ou les Upside-Downs de Verbeek…
Des “Travaux d’Hercule” de Gustave Doré à Superman, en passant par M. Cryptogame de Rodolphe Töpffer, Albert Robida, Asterix ou encore Popeye : généalogie en images d’une démonstration de force hérculéenne…
L’arroseur arrosé n’est pas un cas isolé. Les toutes premières « vues comiques » tournées par les frères Lumière (1896-1898) reprennent des scénarios déjà mis en images dans la presse illustrée de l’époque. Démonstration à travers une douzaine de cas.
A propos de quelques visions d’ivresse et des représentations particulières de l’abus d’alcool dans les histoires en images de la fin du XIXe et le début du XXe siècle.
Avant même que Marcel Duchamp ne s’en prenne à La Joconde et n’en fasse une icône dadaïste, des histoires en images racontaient au XIXe siècle comment de jeunes garnements détournaient des portraits peints en leur ajoutant moustache et barbichette…
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Consultez la thèse de Camille Filliot soutenue en 2011 à l’université Toulouse 2-Le Mirail.
Après Ninette Patapon par Jordic, une autre bande dessinée inspirée par Little Nemo paraît en 1910 dans Le Jeudi de la Jeunesse. Cette fois, l’imitateur se nomme Lortac.
A la découverte des histoires en images données entre 1906 et 1909 par le dessinateur Paul Iribe dans la revue illustrée qu’il a fondée, Le Témoin.
Töpfferiana opens its pages to David Kunzle who appeals to the Topfferian community to help him.
Rien n’arrête le motard effréné de “Look Out for Motorcycle Mike !”, comic strip de Frank King publié de 1911 à 1914, qui vous emmènera de Chicago jusqu’au Paris des Futuristes de Marinetti.
Dans cette bande dessinée publiée dans la presse quotidienne en 1939, Samovar et Baculot, les héros crées par Samivel, reprennent du service dans une aventure inédite aux accents topfferiens.
Reconnu aujourd’hui comme un auteur et un illustrateur de livres pour enfants, André Hellé pratiqua également la bande dessinée tout au long de sa carrière.
À la suite d’un premier article sur Buster Brown, nous apportons quelques informations complémentaires sur la publication, la réception et la traduction en France du comic strip de Richard F. Outcault.
Plongée dans les pages du supplément de bande dessinée de l’édition européenne du « New York Herald » avec Buster Brown, Little Nemo ou les Upside-Downs de Verbeek…
Quelque peu oubliée, l’oeuvre du dessinateur Hermann-Paul reste aujourd’hui à redécouvrir d’autant qu’il pratiqua à sa manière le récit en images.
Des “Travaux d’Hercule” de Gustave Doré à Superman, en passant par M. Cryptogame de Rodolphe Töpffer, Albert Robida, Asterix ou encore Popeye : généalogie en images d’une démonstration de force hérculéenne…
La réunion de la liste de discussion « Platinum Age Comics List » se tiendra comme chaque année le vendredi du Festival de la bande dessinée d’Angoulême 2019. Détails et informations pour ceux qui souhaitent y participer.
Ecrivain, journaliste, caricaturiste, pionnier de la photographie et du voyage en ballon, Nadar réalisa également une demi-douzaine de bandes dessinées, dont la plus fameuse, « La Vie publique et privée de Mossieu Réac ».
Conférence donnée en 2015 au musée de l’image d’Epinal, lors des Rencontres de l’image sur le thème « Une image ne meurt jamais ».
L’arroseur arrosé n’est pas un cas isolé. Les toutes premières « vues comiques » tournées par les frères Lumière (1896-1898) reprennent des scénarios déjà mis en images dans la presse illustrée de l’époque. Démonstration à travers une douzaine de cas.
Les dessinateurs du XIXe siècle se sont souvent amusés à éviter de représenter certaines scènes, feintant une sorte d’autocensure…
Comment contourner la censure au XIXe siècle et publier une histoire en images ou une caricature sans montrer un seul dessin…
Dans le supplément dominical du quotidien Paris-Soir, l’octogénaire Christophe donne une suite aux aventures de sa célèbre famille presque 50 ans après leur première apparition.
Passée jusqu’alors inaperçue, une série d’histoire en images dessinée par Christophe parut entre 1903 et 1905 dans L’Illustré national et de nombreux suppléments illustrés de la presse régionale.
Le « roman dessiné » inachevé de Caran d’Ache n’en finit pas de ressurgir, morceaux par morceaux. Une dizaine de pages inédites refont surface aujourd’hui à l’occasion d’une vente aux enchères.
Thèse de doctorat de Camille Filliot (2011) – Partie III : Catalogues – Albums publiés à Genève et à Paris
Présentation la nouvelle page “Fiches biographiques” du site sur laquelle sont compilées les données biographiques de plus de deux cent cinquante dessinateurs.
A propos de quelques visions d’ivresse et des représentations particulières de l’abus d’alcool dans les histoires en images de la fin du XIXe et le début du XXe siècle.
Gallica, le site des collections numérisées de la Bibliothèque Nationale de France, nous a consacré l’une des vidéos de sa série « Gallica et moi ».
Nous publions ici la thèse de doctorat de Camille Filliot soutenue en 2011 à l’université Toulouse 2-Le Mirail.
Inspiré par Töpffer, le jeune Toulouse-Lautrec réalise en 1881 la chronique dessinée de l’immersion par l’eau des vignes de son oncle pour lutter contre le phylloxéra.
Suite du dépouillement du Figaro de la fin du XIXe siècle à la redécouverte des pages de dessins que donna le dessinateur entre août et décembre 1897.
Quand la presse des années 1930 recueille les témoignages de grands dessinateurs pour enfants : Christophe, Benjamin Rabier, J-P Pinchon ou encore Alain Saint-Ogan.
A la redécouverte d’un album oublié mêlant histoire de chasseurs, décapitation au fusil, anthropophagie accidentelle, homme à tête de mouton… et publié par un éditeur mort au front pendant la Commune, du côté des Versaillais !
Avant même que Marcel Duchamp ne s’en prenne à La Joconde et n’en fasse une icône dadaïste, des histoires en images racontaient au XIXe siècle comment de jeunes garnements détournaient des portraits peints en leur ajoutant moustache et barbichette…
Mis aux enchères en décembre dernier, un lot d’une dizaine de contrats s’étalant de 1887 à 1907 retraçaient dans les grandes lignes la carrière artistique de Caran d’Ache.
Une balle qui passe de case en case, détruisant tout sur son passage… Ce motif récurrent traverse les océans et se retrouve chez Benjamin Rabier, Winsor McCay et Peter Newell.
A lire sur le site Cases d’Histoire, notre entretien à propos de l’influence des dessinateurs du journal humoristique allemand Fliegende Blätter sur l’œuvre de Benjamin Rabier.
Töpfferiana publie un texte de Benoît Crucifix sur l’apparition fracassante de l’automobile dans la bande dessinée américaine du début du XXe siècle.
Le SoBD 2014 proposait un débat entre Thierry Groensteen et Thierry Smolderen autour de la question de la place de Rodolphe Töpffer dans l’histoire de la bande dessinée. Nous publions la retranscription de ces échanges.
A la fin du XIXe siècle, un fabricant de jouets nommé Watilliaux proposa un concept original mêlant histoires en images et figurines de bois dessinés par Randon.
Deux histoires en images de Paul Dufresne et Adolphe Willette retracent le quotidien plus ou moins fantaisiste d’écoliers de la préhistoire et de la fin du XXe siècle.
Töpfferiana publie un texte de Nelly Feuerhahn qui montre comment Albert Robida s’est inspiré de Wilhelm Busch pour l’une de ses histoires en images.
Problèmes de voisinage, mutations zoologiques, sous-vêtements anti-gravitation… Voici une collection de dessins et histoires du dessinateur qui fut l’un des piliers du Punch.
En 1867, dix ans après le dernier volume de la « collection des Jabots », Charles Philipon frappe une ultime fois avec la publication d’un nouvel ouvrage sur le modèle töpfferien passé jusqu’alors inaperçu…
Quelques pièces supplémentaires à rajouter au puzzle « Maestro », le roman dessiné entièrement muet, imaginé par Caran d’Ache en 1894.
En 1906, Jordic dessine une série racontant les rêves d’une petite fille en s’inspirant très probablement du chef-d’œuvre de Winsor McCay.
Un dessinateur en manque d’encre, un metteur en page abusé par des personnages de fiction, des fées et des lutins qui fabriquent un journal : trois histoires en images mettent à jour les processus de création d’une bande dessinée au début du XXe siècle.
Au début du XXe siècle, le strip dessiné par Richard F. Outcault connut un succès considérable qui dépassa largement les frontières des Etats-Unis. En France, une dizaine d’albums fut publiée. Trois d’entre eux sont aujourd’hui consultables en ligne.
En même temps qu’il publiait ses albums de bande dessinée, Gustave Doré donnait des histoires en images à la revue « Le Journal pour rire ». Nous reproduisons ci-dessous quelques-unes de ces pages.
Töpfferiana publie un article de Breixo Harguindey qui se penche sur Töpffer et sa conception de la physiognomonie, cette science qui proposait d’évaluer le caractère d’une personne à partir des caractéristiques du visage.
The Katzenjammer Kids parut pour la première fois en 1897 dans l’American Humorist. Connu en France sous le nom de Pim Pam Poum, le comic strip de Rudolph Dirks fit une apparition fugace dans les pages du Journal pour tous en 1899…
Nous continuons le dépouillement du Figaro de la fin du XIXe siècle avec la redécouverte des pages de dessins que donna Caran d’Ache » chaque lundi de juin et juillet 1897.
Découverte de deux nouvelles versions de l’arroseur arrosé qui nous viennent des États-Unis, avec la célèbre souris Mickey Mouse qui tient le rôle-titre dans la première.
Découvrez Malatesta, un dessinateur peu connu dont les illustrations et histoires en images s’inspiraient de l’imagerie du Moyen Âge…
En 1902, Elie Faure signe dans « L’Aurore » une étude sur le caricaturiste Caran d’Ache : « Je me demande même s’il ne faut pas voir en lui le type le plus accompli de dessinateur humoristique (…) que les arts plastiques aient peut-être encore produit. »
Hasard des calendriers de cette fin de mois, deux ventes aux enchères à Paris proposent chacune une planche originale par Théophile-Alexandre Steinlen publiée dans Le Chat noir.
En quatre décennies, Vallotton aura réalisé plus de mille sept cents peintures, quelques deux cents gravures, d’innombrables dessins pour la presse… et une seule histoire en images.
S’il est une influence dont Christophe ne s’est jamais caché, c’est bien celle de Rodolphe Töpffer. Inventaire non-exhaustif des ressemblances entres lesoeuvres de ces deux génie de la bande dessinée.
Caran d’Ache, pour démarrer cette nouvelle année, avec un dessin publié dans “Le Figaro” du 3 janvier 1898…
Découvrez les histoires sans paroles du Suédois Oskar Andersson, dont les héros sont les ancêtres de Dada, des Marx Brothers et du professeur Nimbus…
Découvrez « Le Mirliton merveilleux », un album de conte merveilleux publié en 1862 par la maison Martinet, ainsi que les autres histoires en image de son dessinateur, Télory.
Dans une série de six esquisses au crayon noir, Jean-Honoré Fragonard, illustre peintre français du XVIIIe siècle, relate avec humour l’épisode de son entorse à la cheville…
Hasard des calendriers ? Gallica vient de mettre en ligne Les Mésaventures de M. Bêton alors que la dernière livraison de la revue Papiers Nickelés publie un article sur cet album d’histoire en images.
En attendant la rétrospective qui lui sera consacrée en 2014 au musée d’Orsay, on patientera en consultant les albums de bandes dessinées de Gustave Doré tous disponibles en ligne.
En 9 images, ce rouleau du japonais Kobayashi Eitaku (1843-1890) dépeint avec détails les différentes étapes de la décomposition du corps d’une courtisane…
Inventaire des bandes dessinées disponibles en ligne du dessinateur Cham (1818-1879), sans doute l’auteur qui a publié le plus d’albums d’histoire en images au cours du XIXe siècle.
Une sélection de planches tirées de la revue illustrée autrichienne « Kikeriki » et publiées entre 1862 et 1877.
Retour sur les « images à renversement » d’Alfred Z. Baker. Inspirées du comic strip « The Upside-Downs » de Gustave Verbeck
Une sélection de planches tirées de la revue illustrée allemande « Jugend » publiées à la fin des années 1890.
Entre novembre 1889 et janvier 1890, la revue « Le Chat noir » accueille une série de quatre histoires sans paroles dans lequelles Steinlen narre les mésaventures nocturnes de bourgeois solitaires.
Inventaire des albums de « littérature en estampes » de Rodolphe Töpffer actuellement disponibles en ligne.
Démarrons l’année avec cette fantaisie graphique et musicale dessinée avec maestria par Caran d’Ache en janvier 1902.
En choisissant la bande dessinée pour réaliser la biographie de Salvador Dalí, le Centre Pompidou savait-il que le peintre surréaliste s’était essayé au genre dans sa jeunesse ?
Sélection de planches extraites des revues illustrées espagnoles « Madrid cómico », « La Revista moderna », « Pluma y Lapiz » ou encore « Gedeón » au tournant du XXe siècle.
Datant des années 1859-1861, cet album de 172 pages est composé de 676 dessins narrant les débuts de la mode du canotage sur la Seine et des bains, et sur les paysages des bords de Seine.
A propos d’une planche de Benjamin Rabier et de deux recueils d’histoires en images publiés dans « Le Journal amusant » aujourd’hui disponibles sur Gallica.
La vente aux enchères du 4 juillet prochain par Sotheby’s à Paris proposera la collection « plus que complète » des albums de littérature en estampes de Rodolphe Töpffer.
Découvrez les palinodies d’Agénor Pistochard et les autres chroniques campagnardes en bande dessinée de Léonce Petit.
Une nouvelle pièce de taille vient s’ajouter aujourd’hui au puzzle du « Maestro », le « roman dessiné » inachevé de Caran d’Ache. Nous avons pu consulter un cahier préparatoire pour cette œuvre, rempli de croquis inédits que nous reproduisons ici.
Tout au long de sa vie, le réalisateur russe Sergueï Eisenstein (1898-1948) s’est adonné au dessin. Les Archives d’Etat russes comptent pas moins de cinq mille de ses dessins. Ses cahiers de jeunesse présentent même de quelques planches de bande dessinée…
Sur l’affiche du festival de la bande dessinée d’Angoulême 2012, Art Spiegelman a dessiné une souris lisant un album de Rodolphe Töpffer sur une tablette. Un clin d’oeil au Genevois. Mais malheureusement la littérature en estampes de ce dernier est peu disponible en numérique…
Carl Maria Seyppel (1847-1913), peintre, dessinateur et écrivain de Düsseldorf, réalisa dans les années 1880 d’étonnants ouvrages dans un style pseudo-égyptien.
Découverte d’un nouvel album inconnu des bibliographies consacrées à la bande dessinée du XIXe siècle dont le titre complet vaut tout un programme : « Comment on étudie la médecine à Paris, histoire de Fiascaud, (bien aimé) ex-étudiant, ex-noceur, viveur, polkeur, aujourd’hui père de famille et propriétaire »…
Entre une toile d’Arcimboldo et un calligramme, cette page des plus originales fut publiée en 1907 dans « La Jeunesse illustrée ».
On connaît surtout Benjamin Rabier comme un dessinateur animalier, mais le créateur de Gédéon et de la Vache qui rit réalisa quelques planches originales dignes de l’OuBaPo.
Nouvelle sélection d’histoires en images dessinées par Adolf Oberländer pour la revue satirique allemande « Fliegende Blätter ».
Du dessinateur Pépin à Wilhelm Busch, en passant par Adolf Oberländer, généalogie d’un gag viral racontant l’histoire nocturne d’un pompier qui éteint son bonnet de nuit qui prend feu en plongeant la tête la première dans son pot de chambre.
en 1891. Un an plus tard, un Le célèbre dessinateur français fut accusé en 1892 d’avoir plagié une histoire en images dessinée par Adolf Oberländer pour la revue allemande « Fliegende Blätter » l’année précédente.
« Das Krokodil » (1889) est sans doute l’une des plus intéressantes bandes dessinées qu’ait donnée Adolf Oberländer, et qui rappelle certaines planches que donnera Will Eisner un siècle plus tard…
Ces « mots en l’air » qu’échangent deux aéronautes américains furent publiés dans « Le Pêle-mêle » de 1901. Cette courte histoire signée par Henri Avelot n’est pas aussi légère qu’elle pourrait le paraître…
Dans « La Jeunesse illustrée » de 1906, un dessinateur américain s’inspire des « Upside Down » de Gustave Verbeek…
Suite du dépouillement du Figaro de la fin du XIXe siècle avec la redécouverte des « Lundis » que de Caran d’Ache donna entre avril à mai 1897.
Entre 1895 et 1896, « L’Echo de Paris » accueille des planches de Steinlen. L’une d’elles intitulée « En désespoir de cause » narre les affres d’un dessinateur d’actualités devant sa feuille blanche…
Moins prolixe en la matière que son grand ami Caran d’Ache, Forain donna deux courtes histoires en images en 1893 dans le quotidien « L’Echo de Paris ».
Suite de l’exploration du « Fliegende Blätter » avec une sélection de pages dessinées par Adolf Oberländer ayant pour point commun de mettre en scène des chiens…
De Benjamin Rabier à Wilhelm Busch en passant par Lewis Trondheim, comment la mouche virevolte de case en case d’un dessinateur à l’autre…
Nouvelle fournée de versions et de variantes du gag viral publiées au début du XXe siècle par O’Galop, Achille Lemot, Ymer, Pierre Falké et André Rigal,
Avant et après Camenber, réccurence du sapeur et de son fameux bonnet à poils dans les histoires en images…
Le héros d’une planche de l’Imagerie Quantin dessinée en 1886 par Eugène Le Mouël rappelle de façon troublante celui bien plus célèbre imaginé par Christophe quelques années plus tard…
Suite du dépouillement du « Figaro » de la fin du XIXe siècle avec la redécouverte des pages hebdomadaires que Caran d’Ache donna entre janvier à mars 1897.
Découverte d’un album d’histoire en images inconnu, daté de 1861, qui raconte les mésaventures burlesques de M. Frusquillard, « célibataire, maniaque et quinteux », poursuivant son perroquet envolé…
Beaucoup moins connu que les autres albums de Christophe, « Les Malices de Plick et Plock » mettent en scène deux gnomes facétieux qui s’inspirent très probablement de ceux aperçus dans la presse illustrée allemande de la même époque…
Entre 1870 et 1890, se développe dans la revue allemande « Fliegende Blätter » une forme d’histoire en images dont les personnages ne sont dessinés qu’à l’aide de simples bâtonnets…
A propos de la récurrence du gag de « l’arroseur arrosé » dans les histoires en images de la fin du XIXe siècle en France, en Allemagne et aux Etats-Unis.
Suite du dépouillement du « Figaro » de la fin du XIXe siècle avec la redécouverte des pages hebdomadaire que Caran d’Ache » donna de novembre à décembre 1896.
Le père de la famille Fenouillard fait parler de lui avec une planche inconnue, un plagiat belge et d’une publicité détournée à la mode situationniste…
A la suite de notre précédent article, voici quelques-unes des contributions que Gustave Verbeck donna dans la presse française dans les années 1890.
Le règne animal aux services des Arts dans les histoires en images parisiennes et new-yorkaises de Gustave Verbeck et d’autres.
Une nouvelle planche du dessinateur Rip dans laquelle un peintre « surnaturaliste » décroche littéralement la lune…
Sélection de planches de bande dessinée par Josef Benedikt Engl, Ferdinand Reznicek, Wilhelm Schulz et Thomas Theodor Heine parues dans la revue allemande entre 1896 et 1897.
Le célèbre Winsor McCay aimait jouer avec les conventions et les procédés de la bande dessinée. Cette planche, passée inaperçue dans « Le Journal pour tous » de 1904, en est un exemple typique…
Suite des « Lundis de Caran d’Ache » publiés dans « Le Figaro », avec aujourd’hui les planches d’août, septembre et octobre 1896.
De Benjamin Rabier à Hergé, en passant par O’Galop et Richard F. Outcault, le gag du serpent à pattes a connu une longue postérité qui rappelle celle de « L’arroseur arrosé »…
Suite du dépouillement du « Figaro » avec la redécouverte des « Lundis de Caran d’Ache ». Aujourd’hui : les planches parues entre juin et juillet 1896.
Sous le pseudonyme Shidari-Kiki se cache le dessinateur français Georges Bigot qui, après un séjour au Japon, réalisa, notamment pour l’imagerie Pellerin, des histoires s’inspirant du folklore asiatique.
Une planche inédite de « Masetro », le roman dessiné de Caran d’Ache resté inachevé, a ressurgi sur eBay il y a quelques semaines…
Publiée dans « La Caricature » en 1883, cette tourbillonnante métamorphose qui est l’œuvre de Faria, un dessinateur d’origine brésilienne, n’aurait pas déplu aux Surréalistes.
Avec cette histoire parue en 1886 dans « La Caricature », Eugène Le Mouël est-il été un tenant de l’Art incohérent ou un précurseur du cubisme ?
Christophe influencé par les images excentriques de Daumier, de Gustave Doré et des Arts incohérents ? Explication en images avec l’exemple de cette histoire en images parue en 1890 dans « Mon Journal ».
Découverte d’une histoire en images dessinée en 1861 par le sulfureux dessinateur d’origine belge Félicien Rops…
Suite du dépouillement du « Figaro » de la fin du XIXe siècle avec la redécouverte des « Lundis de Caran d’Ache » et les planches que donna le dessinateur de mars, avril et mai 1896.
Suite des histoires en images publiées dans « La Semaine des enfants » avec l’« Histoire de la queue d’un chien racontée par une plume d’oie » de Edmond Morin et d’autres…
« La Semaine des enfants » est probablement l’une des premières revues destinées aux enfants qui publia des histoires en images à la fin des années 1850 : la série des « Défauts des enfants » dessinée par Bertall…
Fruit d’une collaboration entre deux amis, cette histoire en images de saison fut publié pour la première fois il y a exactement 106 ans…
Le 26 février 1909, le célèbre dessinateur atteint de neurasthénie depuis plusieurs années s’éteignait à Paris à l’âge de 50 ans.
Cette histoire publiée au début du XXe siècle est un rare exemple d’utilisation de la bulle par Benjamin Rabier…
Dans cette histoire de 1895, le dessinateur Albert Guillaume trouve un système original pour représenter et donner vie à une conversation téléphonique…
Cette amusante planche muette met pourtant en scène deux élèves qui utilisent la voix d’un phonographe pour éviter de réciter leur leçon…
Caran d’Ache fait de nouveaux clins d’œil à Wilhelm Busch avec cette double planche parue en 1887 dans « La Revue Illustrée ».
Cette nouvelle planche de l’Imagerie Quantin offre de nouveaux points de comparaisons avec les premières pages du « Little Nemo » de Winsor McCay.
En 1895, « Le Figaro » débauche Caran d’Ache qui travaille alors au « Journal » pour qu’il signe désormais sa page du lundi dans ses feuilles. Cette collaboration durera jusqu’en 1906.
Cette planche de l’imagerie Quantin de 1886 par le dessinateur Job aurait-elle influencé Winsor McCay pour le tout premier épisode de « Little Nemo in Slumberland » paru dans le « New York Herald » de 1905 ?
« Bande dessinée à nez » débusque pour vous les plus belles apparitions nasales de la littérature graphique. Exemple aujourd’hui avec une planche signée Adel,
De Wilhelm Busch à Georges Méliès, les histoires en images mettant en scène un dormeur attaqué par des insecte auraient-elle influencé le cinéma ?
Créée en 1886 avec l’objectif de dépasser « les vieux sujets grossièrement enluminés qui ont fait la joie de nos pères », l’Imagerie artistique de la maison Quantin se démarque des autres et ouvre une nouvelle ère de l’édition enfantine.
Cette planche de Caran d’Ache intitulée « Musical competition » aurait-elle inspiré le dessinateur pour son roman dessiné « Maestro » ?
Une puce, c’est l’hôte indésirable de ce lit, le prétexte pour Wilhelm Busch qui nous donne ici une belle série de contorsions muettes d’un dormeur dérangé en plein sommeil.
Le nez se trouve régulièrement au centre d’histoires en images tout au long du XIXe siècle. Premier exemple avec cette planche de J.Blass parue en 1893 dans la revue L’Illustré du Soleil du Dimanche.
En 3 minutes et demie, Joshua Glenn démontre la troublante influence de Winsor McCay sur des films comme L’Age d’Or, King Kong, Dumbo, Mary Poppins, ou encore Charlie et la chocolaterie.
En 1894, Caran d’Ache se lance dans un projet révolutionnaire : « Maestro ». Ce « roman dessiné » de plus de 300 pages devait être entièrement muet, sans aucune légende. Il resta malheureusement inachevé…
Dans cette séquence muette présente dans l’un de ses manuscrits, Rodolphe Töpffer dessine un gentilhomme surpris qui se fait attaquer par un autre armé d’un fléau…